Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait toujours sur les plaines arides, Solène entretenait un gerbe qui ne devait jamais s’éteindre. Au milieu de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises incomparablement actives, alimentées journée derrière nuit par des morceaux de filet soigneusement fabriqué
La journée recouvrait les Terres-Fauves d’un tenture d’obscurité, mais dans la famille de Solène, une explication persistait. Les faims du brasero s’élevaient dans un ballet hypnotique, projetant des obscurcissements mouvantes sur les murs en pierre. Depuis des semaines, elles lui adressaient une information, une certitude discrète marqu
clara se rapprocha de la copain évoquées pour en savoir plus. Les informations qu’elle obtint la convainquirent de postuler. Le invention représentait un défi, certes, mais elle se sentait prête à vivre cet ignoré. Elle se rappelait les éclats de jour dans la amulette, le critique d’Esteban de ne pas reculer destinées à les opportunit